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islamisation de l' europe - Page 2

  • L’Etat Islamique détruit l’église et le sarcophage de Saint Elian .

     

     
     
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    Syrie – Les djihadistes de l’Etat Islamique ont détruit une partie de l’Eglise de Saint-Elian à Qaryatayn, au Sud-Est de Homs. Ils ont aussi profané et détruit le mausolée de Saint Elian.
     
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    Saint Elian, originaire de Homs, fut martyrisé pour son refus de renoncer au christianisme en l’an 284.
     
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    L’église avait été fondée sur plan en l’an 432 et un sarcophage contenait les reliques de Saint Elian dans une petite chapelle placée dans la crypte de l’église. La crypte abritait aussi des fresques du XIIème siècle.
     
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    Selon une source sur place, le prêtre qui officiait sur place aurait été assassiné.
     

  • Nos gouvernants franc-maçons, marxistes et laïcistes nous imposent, au mépris de nos valeurs, une islamisation forcenée.

    Elles ne veulent pas voir. Par lâcheté, par paresse intellectuelle, par idéologie, par naïveté, par tactique politicienne ? À chacune, sa méthode pour garder les yeux grands fermés et surtout ne pas vouloir comprendre, mais répéter, après chaque attentat : « pas d’amalgame ! » ou « pas d’islamophobie ! ». Confortant ainsi, les déclarations du CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France) qui, à la suite de l’attaque et de l’assassinat de Saint-Quentin-Fallavier, s’est fendu d’un communiqué sidérant :  » le vrai danger réside du côté de ceux qui utilisent ces événements pour déverser leur haine contre une partie de la population ». Ce discours, de fait, minimise la décapitation d’un homme – le plus important n’est pas le crime – et laisse supposer que ce n’est qu’un acte isolé sans lien avec l’idéologie islamiste.

    N’oublions pas que cette association, le CCIF, est étroitement liée au Parti des indigènes de la République d’Houria Bouteldja, célèbre diva communautariste, ainsi qu’à un certain Tariq Ramadan, lui-même très attaché aux Frères Musulmans (interdits en Égypte) qui, eux-mêmes, ont des liens très étroits avec l’UOIF (Union des organisations islamiques de France). Rappelons que le CCIF n’a jamais condamné fermement l’État islamique et exhorte à la transgression de la loi sur la laïcité. Ces deux organismes, le CCIF et l’UOIF ont participé, à l’invitation du Premier ministre, au lancement de l’instance de dialogue avec l’islam, à Matignon le 15 juin dernier…

    Le gouvernement ne peut ignorer l’idéologie et les accointances de ses interlocuteurs. Comme il ne peut pas ignorer que les services français de sécurité ont précisément identifié les salles de prières tombées aux mains des prédicateurs salafistes et des extrémistes : 25 en Île-de-France, 22 en région lyonnaise et 13 à Marseille… Il ne peut pas ignorer, non plus, les prêches et appels au djihad sur Internet… Que fait-il ?

    Et tous ces "pseudo élites" qui ne sont même pas des intellectuels – Nadjat Belckacem les nomme ainsi, car elle les connaît bien : ils viennent pour la plupart d’entre eux de son camp – qui depuis des décennies nous assènent leur idéologie mortifère faite de repentance permanente et obligatoire à propos de tout et de rien. Internationalistes et antinationaux par essence, ils ne veulent voir dans l’immigration que le côté humain du problème en oubliant au passage l’apport culturel négatif que peuvent amener certaines populations. Ces "pseudo élite"s se comportent comme des collabos, en culpabilisant à tout propos, l’expression du moindre bon sens populaire. Surtout quand ce bon sens présente l’islamisme pour ce qu’il est : le cancer de l’Islam et, par contre coup, le cancer de nos sociétés !

    À force de vouloir à tout prix éviter l’amalgame et avoir peur de désigner un bouc émissaire, soit on se trompe de cible, soit on se trompe soi-même. Le pire est de parfaitement savoir, de ne pas agir et surtout de ne pas nommer les choses. Comment combattre ce que l’on ne veut pas désigner ? Le terrorisme que nous subissons n’est-il pas islamiste ? N’est-il pas pratiqué au nom d’une religion, l’Islam ?

    Vouloir dissocier l’islamisme de l’Islam est intéressant d’un point de vue intellectuel occidental, mais dans la pratique, pour les djihadistes en herbe, sur le plan religieux, c’est la même chose! Ils agissent au nom de l’Islam et les prédicateurs salafistes le leur rappellent constamment. Le salafisme est une composante de l’Islam, que cela plaise ou non. C’est un problème religieux pour les musulmans, mais pour nous, c’est un problème beaucoup plus vaste de civilisation et il nous faut le traiter comme tel. Notre laïcité, qui est à la base de tous nos maux et dirigée de fait contre les catholiques et est incapable de s' opposer aux exigences islamistes.

    Valls déclare que nous sommes entrés dans une guerre de civilisation… OK ! Traitons cette guerre comme en temps de guerre avec des mesures d’exception ! Et surtout avec du courage et de l’audace.Mais les Hollande, Taubira Valls , Cazeneuve et toute la clique ne feront rien et continueront de laisser les islamistes pénétrer la France !

     

    A quand la rémigration ? D' ici là, des émirats s'installeront en France ...

     

     

     

  • Ce qui se passe en France si vous dénoncez ou critiquez l'islamisation et la dhimmitude .

    Le député européen Aymeric Chauprade avait eu "l’incroyable insolence" de critiquer l’islamisme qui menace l’Europe dans une vidéo enregistrée au Parlement européen durant une session.

    Dans la vidéo postée après les attentats de Paris des 7 et 9 janvier, l’eurodéputé appelait à la « lutte pour la désislamisation de notre pays ». « On nous dit qu’une majorité de musulmans est pacifique, certes. Mais une majorité d’Allemands l’étaient avant 1933 et le national-socialisme », affirmait-il notamment, dans un passage visé par l’enquête. Une analyse qui prenait soin d’éviter les amalgames, mais qui évoquait la présence en France d’une cinquième colonne potentielle en cas de confrontation majeure avec l’islam djihadiste. Elle a rencontré un écho certain, puisqu’elle a été visionnée près de 221 000 fois et est sous-titrée en huit langues...

    Oui mais, Chauprade n’était de ce fait pas dans le registre du politiquement correct, sauce Marine Le Pen malgré l’allusion au national-socialisme. Du coup, cette vidéo lui avait valu de perdre, à l’exigence de Marine Le Pen, son poste de représentant des eurodéputés FN tandis qu’une plainte de la part des associations antiracistes, LICRA, Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) et SOS-Racisme en tête a été déposée. L’enquête a donc été diligentée par le parquet de Paris pour « pour provocation à la haine, à la violence et à la discrimination à raison de l’appartenance à une religion ». C’est dans le cadre de cette enquête que le parquet de Paris a convoqué Aymeric Chauprade. Mais Chauprade ne se laisse nullement impressionner. Voici ce qu’il écrit à la police qui a la prétention de l’interroger :

    Cher Monsieur,

    Je fais suite à votre courriel du 2 juin dernier dans lequel vous entendez me convoquer dans le cadre de l’enquête diligentée à la demande de Mme Annabelle Philippe, Vice-Procureur près le Tribunal de Grande Instance de Paris,

    Je tiens à vous informer que je ne me rendrai pas à cette convocation.

    En effet, les propos pour lesquels je suis poursuivi ont été tenus dans le cadre de mon activité de député au Parlement Européen et alors que je me trouvais dans l’enceinte des locaux de l’Union Européenne à Bruxelles.

    Par conséquent, j’entends à ce titre invoquer le bénéfice des dispositions de l’article 9 du Protocole sur les privilèges et immunités du 8 avril 1965 des parlementaires européens.

    Cet article dispose en effet que : « les membres de l’Assemblée ne peuvent être recherchés, détenus ou poursuivis en raison des opinions ou votes émis par eux dans l’exercice de leurs fonctions ».

    Par ailleurs, l’article 10 dispose que l’immunité couvre également les députés européens « lorsqu’ils se rendent au lieu de réunion de l’Assemblée ou en reviennent ». Tel était le cas en l’espèce.

    Enfin, je tiens à préciser que je n’entends pas céder aux désidératas des ligues de vertu qui, à l’instar de la LICRA, prétendent fixer les limites de la liberté d’expression à des députés légitimement élus par le peuple français.

    Je vous prie de croire, cher Monsieur, en l’assurance de mes sincères salutations.

     

    Aymeric Chauprade

    Député français au Parlement européen